Notre cerveau reptilien a enregistré une ou plusieurs peurs dans sa mémoire comme une expérience où nous avons cru mourir.
Notre vie est est conditionnée par toutes ces mémoires, ou habitudes qui nous permettent de vivre sans avoir à y réfléchir, car réfléchir prend du temps et fatigue beaucoup. C’est pour cela qu’une habitude est bonne mais certaines sont handicapantes et nous empêchent d’être bien comme nos peurs.
Le cerveau reptilien croit bien faire car lors d’un danger il faut réagir très vite, on n’a pas le temps de réfléchir.
Pour sortir de ses peurs ou de ses mauvaises habitudes, il faut donner une autre réponse à notre cerveau reptilien. En se confrontant à nos peurs, on lui donne une autre réponse et on lui dit “dans cette expérience je vis” et non plus “je meurs”.
Se confronter à nos peurs c’est les revivre dans le corps en ressentant les sensations. Certaines désagréables se font sentir mais elles sont moins fortes ou violentes que si on ne laisse pas faire c’est-à-dire si on repart dans nos pensées qui nous ramènent à cette mémoire où on a cru mourir.
Certaines personnes n’ont jamais peur contrairement à d’autres qui ont toujours peur. Mais c’est la même chose, elles s’expriment aux deux extrèmes. Et quand une peur ne peut pas s’exprimer elle est somatisée.
Les maladies et les symptômes sont des moyens que le corps met en place pour nous empêcher de FAIRE, d’AVOIR ou d’ETRE quelque chose que notre être véritable ne veut pas. Et nous nous obligeons, par des croyances, des peurs avec des “il faut” – “je dois” ou “j’aimerais”.
ALORS EXPERIMENTEZ ! Chaque chemin est une nouvelle expérience, il n’y a ni bon ni mauvais chemin, ni erreur, juste de nouveaux moyens d’apprendre !